Plus que d’habitude. Et encore plus qu’en Pologne. Janina et Tadeusz n’en ratent pas une. Après on se régale avec les mûres dans la crème fraîche et dans une tarte - recette polonaise.
Toujours en forme, toujours plein de sourire. L’océan Atlantique est une bonne distraction par rapport à son beau jardin à Wałbrzych. Tadeusz va sûrement ramasser ses belles prunes au retour.
quatre par nous-même. Un petit exploit de se faire prendre par nous-même. Victimes de gadget age technologique ? Oui, pour s’amuser.
Il n’y pas d’âge pour ces petits plouffes dans l’eau pas si glaciale. Et elle était même assez chaude cet été 2009. Même Zbyszek a fait un plongeon quand Tadeusz a perdu sa mâchoire …
Maman de Luis en compagnie de ses petits enfants Jeanne et Marius posent avec Janina sur une pile du bois ramassée dans la forêt des pins.
La presse qui n’est pas quotidienne. Une pause café après une besogne. Toujours quelque chose à faire. Cette fois c’est habiller les récupérateurs d’eau de pluie en jolies boîtes en bois.
La chaîne qui fait descendre l’eau de la gouttière vers le récupérateur de pluie fait asperger plus que nécessaire le couvercle du conteneur. Tadeusz met son coeur pour ajuster cet ensemble.
Construit par Tadeusz et Zbyszek, ce cadre en bois de pin pour le conteneur d’eau passe par une phase de peinture de protection. Ce meuble du jardin éveille une admiration auprès les voisins.
Cela ne s’arrête pas quand Tadeusz se met au travail. Deux cadres à découper et assembler, peinture de protection et sortie d’évacuation d’eau des conteneurs : BRAVO !
Les travaux presque terminés, on passe à la phase de vérification et testes. L’œil attentif de Janina joue un rôle prépondérant . C’est elle que fait les plaisirs de nos palettes et nos estomacs.
Les familles Sango de la Bodeguita Del Sango et la famille Galus devant une salve de bouteilles. Le blanc des Landes bien recherché et ces Bordeaux au goût non trouvé sur le marché.
Aussi spectaculaire que le surf mais étant aussi technique ce sport réclame beaucoup de force et de l’endurance. Les vagues sous les pieds et le vent dans le dos. Et quelle vitesse !
Une de ma plus belle prise de cet été. Attraper le moment par le cou. La pensée de Tadeusz figée et projetée sur la toile de l’infini : où somme-nous, où allons-nous.