Par cette lettre modeste, Monsieur, j’ai l’intention d’attirer votre attention à un traitement particulier que je reçois de la part d’une de vos franchises qui se trouve à Paris.
Mon appartement est situé au premier étage juste au dessus d’un petit studio transformé en pizzeria Domino. Le constant et permanent bruit généré par le four électrique et les cinq réfrigérateurs infligent beaucoup de mal à ma santé physique. Les fréquences basses (au dessous de 100 Hertz) font que le plancher de mon appartement vibre et cela résonne de partout.
L’immeuble, où la pizzeria et mon appartement se trouvent, est un classique en pierre de taille du début du vingtième siècle avec les poutres en bois qui font la seule séparation solide entre les étages. Inutile de rajouter que ces mêmes poutres amplifient les vibrations et ne constituent aucun obstacle à la propagation du bruit et des vibrations. C’est comme si on était en intérieur d’un tambour sans aucun issu possible.
Quand il y a trois ans la pizzeria Domino a commencé ses activités, j’ai essayé de convaincre le gestionnaire du local qu’une bonne couche d’isolation en bitume serait une solution satisfaisant au problème du bruit. I’ai proposé de couvrir la moitié de frais même si le torr n’était pas de mon coté. Ma proposition a été rejetée.
Le responsable qualité de Domino Pizza France a refusé toute coopération en matière. L’affaire a été transférée à la Préfecture de Paris du Département des Nuisances et aux services municipaux de la Mairie de Paris. La seule réponse de la part du Responsable Qualité du Domino Pizza France envers mon action d’arrangement réciproque était la formulation verbale : « nous avons les meilleurs avocats et vous aller perdre … ».
Bien sur, je suis déjà perdant parce que le bruit a bien entamé ma santé physique.
Je suis profondément convaincu, Monsieur le Président, que ce n’est pas ce genre de victoire que vous êtes en trains de chercher.
Il s’agit seulement d’une franchise de Domino Pizza qui ne respecte pas ni les normes ni le code déontologique de la grande compagnie qui est la votre. Une petite lacune s’est infiltrée dans votre processus de qualité quand le nombre des intermédiaires, quand il s’agit d’une franchise, échappe au contrôle.
S’il s’agissait uniquement du problème du bruit, je serais peux être un cas isolé dans le quartier en question. Mais il y a d’autres sujets de contestations qui ont attirés l’attention des habitants du voisinage. (Rapport Domino)
Je l’espère sincèrement, Monsieur le Président, que vous êtes le mieux placer pour pouvoir résoudre facilement ce problème.
Je termine ma lettre en exprimant mon respect vis-à-vis de vous-même et de votre compagnie qui, selon le témoignage de la presse, a battu le recorde du monde en temps de préparation d’une pizza.